Les aventures de Super Poukaï !

Légèrement agacée par le comportement de certains extrémistes à deux balles, Kat se prépare à aller se défouler à la gym après avoir ingurgité de la chair de cochon sauvagement assassiné haché en petits morceaux et farci dans un bout d’intestin arraché avec les dents à un autre pauvre porcinet encore vivant, le tout cuit sur un feu de camp au milieu de la cafet’ et accompagné d’une purée de pommes de terre mutilés et torturés avant d’etre réduits en purée, le tout arrosé de sang de jeune vierge encore chaud (oui, mais c’est le diable qui m’a dit de le faire, mouahahahaha !)… (et j’vous parle même pas du sort que j’ai réservé aux pauvres fèves de cacao qui ont contribué à la fabrication de mon gato pour le dessert !)

Bref, sur le point de partir, Kat fait un tour aux toilettes en attendant la gentille collègue qui doit la déposer à la gym, et là, en remontant la fermeture éclair de son joli pantalon tout neuf, ben… ZBLAMMM ! la fermeture qui explose, et le machin coincé en haut, impossible de le déscendre et enlever le pantalon, rien à faire… Après une discussion avec sa charmante collègue, elle décide d’agraffer le pantalon, et elles partent vers la gym, armées de l’engin en question…

Un cours d’aquagym comme on les aime plus tard (”Allez, ZOUUUH, la jambe droite, HOP et la, ZOUUUUH, OUAIIIIS, c’est bien, et HAP on change de jambe et VOUIIIII…” - Sylvie, je t’adore ) Kat retarde le moment où elle devra enfiler son pantalon cassé et sortir l’agraffeuse, qu’il n’y ait plus personne dans le vestiaire. Et non, agraffer un pantalon dont la fermeture a cassé ben… ça marche pas !! Pourtant, l’idée était bonne (c’était la mienne)

—————-Interlude———————

Super Poukaï, appellée d’urgence à la réunion pourtant prévue depuis le matin même car elle n’a plus aucune notion du temps quand elle blouggue, appuie sur le bouton “poster la note” au lieu de “Enregistrer le brouillon”, et au retour constate avec une certaine hilarité les commentaires sur son histoire pas finie

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Kat (l’identité secrète de super Poukaï, je vous le rappelle) rentre donc le haut de son pantalon dans sa petite culotte (comme quoi, finalement, parfois, c’est utile d’en mettre !) pour le faire tenir et repart à pied de la gym, tenant son pantalon fermé d’une main et bénissant la divine inspiration qui lui a fait choisir, ce matin, sa longue tunique chinoise qui lui va si bien, et maudissant les fermetures éclair à deux balles.

Et comme tout ça, ben ça creuse, Kat s’installe à son bureau pour manger deux Oreos nappés de chocolat au lait cruellement assassiné sous les yeux des bébés fèves désormais orphelines… (pour ceux qui ne connaissent pas, les Oreos sont des biscuits qui agissent par bande de deux, sautant sauvagement sur les pauvres boules de crème sans défense et qui les écrasent sans merci jusqu’à ce que paquet s’en suive… )

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